1. |
Ce Qui Tremble
03:56
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Laisse, attend de voir
Souffle ce qui tremble
Et garde ton pouvoir
Pour ceux qui le méritent vraiment
Reste au pied du lit
Souffle ce qui tremble
Et cherche dans le noir
Les traces de tout mouvement
Il est bientôt l'heure
Souffle ce qui tremble
Les choses que tu caches
Connaîtront le goût du vent
Oh j'ai gardé
Tes phrases et tes couplets
Ils dorment dans ma tête
En temps voulu
Tu entendras venir
La tempête
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2. |
Toujours Quelque Part
03:05
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Je me rappelle la couleur
Parmi toutes les autres
La nuit au loin qui s'évapore
Le dernier son qui flotte
La lumière du mois d'Avril
Quand la chaleur revient
Au bord de l'ombre où tu t'assis
Tu ne dis plus rien
Comment veux tu que je te croie ?
Dans tout ce brouillard
J'ai perdu pied et tout espoir
Comment veux tu que je te croie ?
J'ai retenu les refrains
Que m'ont chanté ces jours
Eveillée du soir au matin
Pour oublier cet amour
Je croyais que c'était possible
Je me réveille devant le vide
Le feu ne s'est jamais éteint
Tu seras toujours quelque part
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3. |
Oublions, Oubliez
03:56
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Peindre les jours de poésie
Au cœur des grands orages et dans l'orange soir
C'était dit
Mais les longues vagues et les plus grands hasards
Ils nous ont déposés ici
Alors, quoi ?
Dehors la lumière faiblit
Je ne vois plus que l'ombre de ce brillant espoir
Et je sens l'odeur de la pluie
Au bord de tes yeux sombres
Et du bout de mes doigts
Je pose le charme de l'oubli
Oublions, oubliez, oublie-moi
Oublions, oubliez, oubli
Oublions, oubliez, oublie-moi
Oublions, oubliez, oubli
Je passerai le temps à revoir dans ma tête
Les images de ce qu'on aura pas vécu
C'est une chaleur fragile et étrange peut-être
Mais elles existeront au moins un petit peu
Et dans ce coin tranquille où je respire enfin
Le moment suspendu caché entre les mots
Je glisse en vérité mes vœux incertains
Jusqu'à l'inévitable chute
Je sais qu'il faut
Oublier
Une bonne fois pour toutes
Peu importe
Ce que ça coûte
Oublier
Une bonne fois pour toutes
Peu importe
Ce que ça coûte
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4. |
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Arrêt sur image
Lever les yeux vers le ciel
Dire qu'il suffisait d'un nuage
D'une respiration
D'un moment de réel
Pour atteindre l'autre bord
Renverser la fumée
Comme une autre naissance
Un chemin dans la brume
Puis soudain
Lever les yeux vers le ciel
Dire qu'il suffisait d'un nuage
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5. |
Avril
02:59
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Avril au lever du jour
Tes yeux bleus marine s'ouvrent
Bienvenue sur ton île
Avril
Là où les mondes se croisent
Une étincelle t'anime
Soulève les voiles
Avril
Quel étrange voyage
Nous dépose ici ?
Je ne m'en souviens plus
T'en souviens-tu ?
Avril cette nuit s'achève
La lumière se révèle
Au premier matin
Avril
Quel étrange voyage
Nous dépose ici ?
Je ne m'en souviens plus
T'en souviens-tu ?
Les oiseaux s'envolent
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Nolika France
Dimanche matin pluvieux. Souvenirs d'une plage en octobre. Fleurs séchées au bord de la fenêtre.
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Rainy Sunday morning. A beach in October. Drying flowers by the window.
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